Au Maroc, tout transporteur doit se munir d’un agrément pour pouvoir exercer. Or Uber considérait ses chauffeurs comme des « auto-entrepreneurs » et non comme des transporteurs. Conséquence: à tout moment, les chauffeurs Uber risquaient d’être verbalisés par la police et leurs véhicules envoyés en fourrière. « Une incertitude réglementaire qui ne permet ...
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