Le référendum constitutionnel souhaité par le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou-Nguesso, aura lieu le 25 octobre 2015.
Si elle est adoptée, la nouvelle Constitution permettra au chef de l’état congolais de briguer une troisième fois la magistrature suprême, après plus de 30 ans au pouvoir, alors que la Constitution actuelle ne le lui permet pas.
Pour marquer leur opposition, des militants de plusieurs associations et partis politiques se sont rassemblés devant l’ambassade du Congo-Brazzaville à Paris.
FLORE ONISSAH